(La vidéo ! La médiation, c'était en 2x 3 heures :))

Les parents Français pensent souvent "de toute façon, il ou elle est Allemand : il n'y a rien faire.

Le juge lui donnera forcément raison."

Ce n'est pas vrai. 

CE N'EST PAS VRAI !

Mais la meilleure manière d'être sur-e que le juge ne décidera pas contre vous, c'est de réussir à vous mettre d'accord. 

Et c'est possible. 

Vraiment. 

Même dans une situation de forte escalade du conflit, comme un enlèvement international d'enfant. 

Vraiment. 

La preuve en 8mn, en vidéo 👆🏻

C'est dès qu'un parent décide d'emmener l’enfant résider dans un autre pays, sans avoir l'autorisation de l'autre parent exerçant aussi l'autorité parentale !

Vous habitez normalement à Strasbourg et vous emmenez votre enfant habiter avec vous à Kehl, 5 km plus loin, de l'autre côté de la frontière ? 

C'est déjà un enlèvement international d'enfant. 

! 

(Vous habitez normalement à Strasbourg et vous emmenez votre enfant habiter avec vous à 1.000km de là, en Bretagne ? 

Ce n'est pas bien, mais ce n'est pas un enlèvement international d'enfant.)

Pour les enlèvements internationaux d'enfant, la Convention de La Haye du 25 octobre 1980 oblige les États à travailler ensemble dans une "procédure de retour". 

La procédure de retour vise à garantir un retour immédiat de l'enfant dans son pays de résidence habituelle.

Concrètement, quand le retour est ordonné, si le parent ayant déplacé l'enfant ne laisse pas l'enfant repartir, ce sont les policiers qui viendront chercher l’enfant pour le ramener à l’autre parent.

C’est traumatisant. 

Pour l’enfant,

Pour les parents.

Mais la procédure de retour ne résout en fait presque rien. 

Parce que le juge du retour n'est pas le juge de l'autorité parentale, ni des obligations alimentaires. 

Concrètement, il n'a pas le pouvoir de dire comment l'enfant va voir chacun de ses parents,  où l'enfant va aller à l'école, qui va payer pour quels frais, etc.. 

Ca, c'est une autre procédure. 

Alors vous voyez, si vous ne vous mettez pas d'accord, cela peut prendre des années de procédure.

Dans les deux pays, avec des décisions parfois contradictoires. 

Et des dizaines de milliers de frais d'avocat. (Vraiment.)

Et surtout, pendant tout ce temps, le conflit familial s'aggrave. 

Avec l'enfant au milieu de votre guerre. 

⚔

Qui se prend, ou en tout cas ressent, tous les coups au passage. 

C'est vraiment ça que vous voulez pour l'enfant que vous aimez ? 

Non ?! 

Alors allez voir un avocat-médiateur en droit de la famille franco-allemand. 🙏🙏🙏

Moi ou un autre, ça m'est égal, hauptsach : vous allez voir un professionnel de la résolution de votre conflit familial franco-allemand dans la paix.

(Je n'en connais pas d'autre, mais peut-être que vous en trouverez d'autre.)

Une mère française avait accepté que son fils reste habiter chez elle alors qu'il y passait juste des vacances.

C'est juridiquement un enlèvement international d'enfants.

S'en étaient suivies des années de procédure pour 70.000€ de frais de procédure, rien que pour le papa.

Des procédures en France et en Allemagne, avec des décisions incompatibles. 

Une audience était prévue une semaine plus tard, devant un juge allemand.  

Les parents sont invités à une médiation,

pour trouver un terrain d'entente qui convienne à tout le monde.

Pour le bien-être des enfants.

Pendant la médiation,nous établissons une carte mentale claire de la situation afin de prendre en compte toutes les nuances et avoir une vue d'ensemble détaillée de la situation.

Ça permet de visualiser où les parents ne sont pas d'accord, et aussi où les parents sont d'accord ! 
 

Car en réalité, ce que les parents oublient souvent dans les conflits, c'est qu'ils ont plein de points communs. 

Des principes éducatifs communs, notamment. 

Et c'est tellement important de le souligner ! 

Ensuite, en utilisant des méthodes créatives, chaque parent est accompagné pour exprimer ses attentes vis-à-vis de la situation et écouter les attentes de l’autre parent.

Et surtout, pour comprendre en quoi ces attentes leur tiennent autant à coeur. 

Une fois seulement que l'on a compris ce qui se cache profondément derrière les attentes, on peut avancer.

 Et les parents ont souvent besoin de reconnaissance de la souffrance passée, 

un besoin de compréhension voire de pardon,

pour le fait qu'ils aient, eux-mêmes, causé de la souffrance à l'autre, même sans que ce ne soit leur intention première, 

un besoin de se sentir autorisés à être le parent qu'ils veulent auprès de leur enfant, 

un besoin de sentir que leur enfant grandira désormais en sécurité dans ses relations aux deux parents, 

et avec une transmission des deux cultures parentales.

Une fois cette compréhension faite, les parents avancent dans la co-création d'une solution convenable pour chacun,

avec le bien-être des enfants au centre. 

Cette solution est très détaillée, avec des accords très précis et concrets, sur mesure pour chaque situation.

On met tout ce que l'on veut dedans (dans la limite de l'ordre public), et on s'assure que chaque parent soit réellement satisfait de la solution.

(Un "oui, oui" ou un "oui, mais", ou un "oui" en faisant "non" de la tête, ce n'est pas un oui !.)

Par exemple, pour le déménagement de l’enfant, on peut décider de tout : la date, les frais, qui emmène l'enfant où, etc. 

Pour les visites chez le médecin, on peut décider quand, devant quel médecin, etc.

On peut même définir comment les parents communiquent entre eux, comment l'enfant communique avec le parent chez lequel il ne réside plus, etc. 

Tout peut être réglé, grâce aux accords sur mesure de médiation !

Une fois que les parents se sont mis d'accord sur tout, on peut formaliser leur accord dans un document juridique, que l'on peut même transmettre au juge.

Cette convention parentale peut ensuite être soumise au juge pour qu'il reprenne tout l'accord des parents dans une décision qui aura la même force qu'un jugement.

Parce que oui, si les deux parents le demandent, le juge peut reprendre des points d'accord à tous les niveaux. 

Et pas juste sur la question du retour de l'enfant.

Ainsi les parents ont un accord

100% adapté à leur situation,

qui est 100% accepté par eux deux,

qui apporte la sécurité juridique d'un jugement.

et qui sera 100% exécuté ensuite (alors que tant de jugements paraissent beaux, mais ne sont pas exécutés par l'un des parents !),

 

C'est beaucoup plus rapide, 

beaucoup moins cher, 

cela prend beaucoup moins d'énergie, 

que toutes les procédures. 

Et surtout, c'est la seule manière de parvenir à une paix dans la famille, pour vos enfants. 

 Et oui, c'est possible même si le juge est allemand.

Même pour valider un accord prévoyant qu'un enfant franco-allemand retourne habiter avec son parent français, en France. 

Même quand c'est ce parent français qui avait commis un enlèvement d'enfant avant. 

Si vous ne me croyez pas sur parole, je vous ai mis sur cette page les documents qui le prouvent.

Je profite d'un rendez-vous découverte gratuit (pour le moment) de 15 minutes.